Plus qu’une discipline, la course à pied est un véritable vecteur d’intégration et de socialisation. Dans un monde individualiste, et profondément injuste, le sport est une bouffée d’oxygène pour beaucoup.
Au-delà de l’aspect bénéfique sur le plan physique, il véhicule des valeurs de tolérance, de respect et d’acceptation de l’autre dans sa différence.[do action= »retour-a-la-ligne »/]
Les nouvelles sont mauvaises d’où qu’elles viennent … Et cela n’est pas prêt de changer ! Regarde autour de toi, le monde est pathétique, nauséabond et rempli de haine. Le pire dans tout cela : L’acceptation et la résignation. On finirait presque par trouver ça normal.
La course à pied devient alors une échappatoire, un exutoire contre toutes ces choses que nous ne pouvons pas changer et qui nous donnent du vague à l’âme. Une dose de running pour tenir le coup, une séance de course avant de replonger dans ce marasme.
Nul besoin d’être miss France pour rêver à la paix d’un monde meilleur, plus juste et égalitaire. Il n’est pas question de débattre ici de politique internationale ni même de l’injustice sociale prédominante dans notre société. Il s’agît juste de formuler quelques espoirs.
Pour certains la frontière est invisible … pour d’autres, elle l’est beaucoup moins ! Le sport que nous voyons souvent comme un loisir est potentiellement un outil essentiel de développement, qu’il soit personnel ou collectif.
Il a déjà été démontré que la pratique sportive pouvait être à l’origine d’une certaine paix sociale, dans le respect des peuples et des différences culturelles. Est-il illusoire d’imaginer un monde qui se nourrissant de sa diversité serait capable de courir ensemble sans se déchirer ?
Pauvre garçon idéaliste qui pense que la différence est une richesse qu’il faut préserver et respecter … Tu risques de courir encore longtemps la tête basse, les yeux rivés sur tes pieds.
Sébastien
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