Que ce soit votre premier marathon ou non, à l’approche de l’objectif les questions se bousculent au point parfois de remettre en cause une préparation pourtant rondement menée. A quelques jours du grand départ, voyons si vous êtes prêt !
Jusqu’ici vous pensiez avoir suivi votre préparation à la lettre. Toutes les séances du plan d’entrainement sont passées, pas de bobo, les voyants sont au vert. Oui mais voilà qu’à quelques jours de l’objectif, le doute s’installe.
A l’heure d’entrer dans la dernière phase avant la course, dite de relâchement, qui permet d’aborder l’objectif avec une grande fraicheur, les questions fusent de tous les côtés. Un mélange de fébrilité et d’excitation s’empare immanquablement de vous.
Plus on s’approche du mur, et plus il paraît haut, c’est d’une logique implacable. Néanmoins, si tout le travail a été fait correctement en amont, il n’y a aucune raison de paniquer. Puisque on parle du mur, intéressons-nous à celui du marathon, qui se dissimule généralement entre le 30ème et le 35ème kilomètre. Sachez qu’il est loin d’être insurmontable, même s’il entretient la légende du marathon.
D’ailleurs seuls les coureurs peu entrainés ou encore ceux qui flirtent avec les limites viennent à coup sûr s’y heurter. Pour les autres, la baisse de régime, bien que réelle, sera loin d’être significative. Tout est donc une question de dosage.
Ne pas partir trop vite, s’en tenir au plan et à l’objectif déterminé durant la préparation. Le marathon c’est 30 km d’attente et 12 km de course contre soi même. Vous vous sentez pousser des ailes ? Apprenez donc à courir avec le frein à main. Un seul mot d’ordre à se répéter en boucle : patience !
Néophyte sur la distance ? Gardez bien en tête que le seul objectif valable sera d’abord d’aller au bout, ne soyez pas trop gourmand. Soyez prudent, par la suite, avec l’expérience, vous aurez bien le temps d’aller chercher un chrono sur la distance.
Que faire avant la course ?
Dans les deux dernières semaines qui précèdent le marathon, il est généralement conseillé de réduire sérieusement le volume d’entrainement, tout en essayant de maintenir une certaine intensité pour ne pas se ramollir.
Footing légers, quelques accélérations, du rappel d’allure, … Tout ça en apportant une attention toute particulière au repos, au sommeil, à l’alimentation et à l’hydratation.
Pas la peine non plus de manger 3kg de pâtes la veille, ni de boire 2 litres d’eau avant le départ. Si vous dormez mal la veille de la course, ce n’est pas grave, ça arrive souvent. On dit d’ailleurs que la nuit la plus importante est souvent l’avant dernière.
Choisissez une tenue et des chaussures de running déjà testées à l’entrainement, pas d’improvisation le jour J. Idem pour les ravitaillements, ce n’est pas le moment de vouloir tout changer. Gels, pâtes d’amande, banane, … Quoi que vous choisissiez, vous devez l’avoir testé à l’entraînement durant vos sorties longues.
Durant la course, vous trouverez un ravitaillement solide et liquide tous les 5km, pas la peine donc de vous encombrer avec des bouteilles ou un sac d’hydratation. Des postes d’épongeage sont également prévus entre chaque ravitaillement.
A quelques jours de la délivrance, vous n’avez plus d’autre choix que de miser sur la fraicheur. Oubliez l’idée d’une dernière sortie longue pour vous rassurer. Reposez-vous, détendez-vous. Chaque marathon est unique, et quoi qu’il advienne, vous vous apprêtez à vivre un grand moment.
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